Résumé :
|
la culture du bigaradier était une économie florissante, faisant vivre des centaines de familles, sur les hauteurs de la Côte d'Azur jusqu'en 1950. Tout était utilisé dans cet oranger amer, les fleurs pour l'eau de fleurs d'oranger et le parfum néroli, les fruits pour la marmelade, les zestes pour les apéritifs et liqueurs, les feuilles et les rameaux pour obtenir l'essence de petit grain, les feuilles en herboristerie, l'écorce pour les boissons toniques...Portrait d'un arbre patrimonial et d'une économie disparue.
|